Wonderful monde existe depuis 2006, et s'engage à vous proposer un large catalogue de prêt à porter étique, tout en répondant certaines valeurs.
Par exemple,
-nous employons des matériaux recyclés ou compostables pour nos envoies, qui sont d'ailleurs effectués à vélos, à pieds ou en véhicules électriques.
-Les stocks sont gérés au plus juste afin d'éviter la surproduction,
-nous sélectionnons des fournisseurs engagé sur le terrain depuis plusieurs année, tels que :
ENGEL, CONTINENTAL CLOTHING et LIVING CRAFT,
Mais aussi de nouveau créateur tel que :
Mais qu’est-ce qu’un vêtement éco-responsable ? Comment le reconnaître ? Se reconstituer petit à petit une garde-robe plus durable et écologique ?
Un vêtement éco-responsable est un article de mode ayant été produit de manière à minimiser son impact environnemental, et respecter une certaine éthique tout au long de sa chaîne de production (sur le volet social notamment).
Même s’il n’existe pas de règles établies à proprement parler, on peut tout de même identifier 4 principales lignes à laquelle un vêtement dit “éco-responsable” ne peut déroger.
La composition d’un vêtement éco-responsable joue un rôle prépondérant dans sa propension à pouvoir ou non être qualifié comme tel. Ceci s’explique notamment par le fait que l’essor de la fast fashion a mis en lumière deux problèmes majeurs : d’une part, le taux de pollution environnementale et sanitaire liée à l’emploi de certains matériaux, et d’autre part, l’épuisement d’un certain nombre de ressources. En ce sens, les alternatives les plus écologiques doivent être privilégiées (voir plus bas).
Longtemps mise de côté, la question de l’éthique appliquée aux procédés de production constitue l’un des principaux moteurs de ceux souhaitant soutenir la mode éco-responsable. Depuis le drame du Rana Plaza, la France a d’ailleurs fait évoluer sa législation en instaurant le devoir de vigilance. Mais au-delà du volet légal, la négation des conditions de travail au sein de la chaîne d’approvisionnement est de plus en plus mal perçue. Le respect des droits humains, la sûreté des conditions de travail, ou encore l’équitabilité des salaires comptent de plus en plus. Y compris pour le grand public.
Corrélée à la question des matériaux, la gestion environnementale s’avère toutefois plus large. Au-delà de s’assurer que le vêtement est conçu de façon éco-responsable, il s’agit de s’assurer que sa création, sa production, puis sa distribution sont gérées de la manière la plus optimale possible sur le plan de l’empreinte carbone notamment. Les émissions de gaz à effet de serre (grandes contributrices au réchauffement climatique) doivent faire l’objet d’une réduction maximale.
Outre le fait de produire mieux, le vêtement éco-responsable doit nous permettre de consommer moins. En l’état actuel de la situation, nos sociétés contemporaines (au sein des pays développés) surconsomment les ressources disponibles sur la planète. Pire : elles les surconsomment pour produire des biens relevant souvent du superflu. En ce sens, créer des vêtements solides, de qualité et au design intemporel permet d’allonger la longévité de ces produits, d’économiser les ressources et de réduire les déchets.
Les labels et les certifications sont l’un des principaux indicateurs permettant au grand public d’identifier un vêtement éco-responsable. Attention cependant, car ces derniers ne se valent pas nécessairement - sur le plan des critères de labellisation notamment.
Parmi les principaux labels pouvant se révéler utiles, on trouve :
La certification GOTS implique ainsi des audits réguliers de la part d'organismes de certification indépendants - agréés par GOTS. Le label Ecocert lui-même recourt d'ailleurs au standard GOTS pour effectuer ses propres vérifications.
Oeko-Tex Standard 100 et Made in Green by Oeko-Tex sont des labels décernés après tests en laboratoire et audits du processus de production, là aussi effectués par des instituts indépendants membres du réseau Oeko-Tex. Même son de cloche du côté de chez Fair Wear Foundation, qui s'appuie sur des vérifications et des audits indépendants.
Les critères de FairTrade sont quant à eux évalués par FLO-CERT, un organisme de certification indépendant spécialisé dans le commerce équitable.
Enfin, les critères et le processus de certification de l'Ecolabel Européen sont supervisés par des organismes compétents, au sein de chaque État membre de l'UE.
Dans le domaine de l'industrie textile, certains matériaux peuvent être privilégiés en vue de réduire son impact environnemental.
Le coton biologique, par exemple, garantit que ce dernier a été produit dans des conditions ne relevant pas de la surexploitation. Sa production :
Dans une toute autre catégorie, les cultures de lin et de chanvre sont elles aussi moins gourmandes en eau ainsi qu'en engrais.
Bien évidemment, n'hésitez pas non plus à vous tourner vers les vêtements issus des filières de recyclage (coton recyclé, polyamide recyclé, etc.).
Les fibres textiles | Typologie de fibre textile | Exemples de fibre textile |
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Les fibres naturelles | Fibres d'origine végétale | bambou, caoutchouc, cellulose, chanvre, coton, coco, jute, lin |
Fibres et poils d'origine animale | alpaga, angora, cachemire, chameau, chèvre, fourrure, laine, mohair, soie | |
Les fibres chimiques | Fibres chimiques issues de la transformation de matières naturelles | acétate, cupro, lyocell, modal, polyamide, rayonne, triacétate, viscose |
Fibres chimiques résultant d'une combinaison de gaz, pétrole, alcool, air et eau | acrylique, aramide, carbone, céramique, chlorofibres, élasthanne, élastoléfine, modacrylique, polyamide (nylon), polyester, polyéthylène, polypropylène |